Le couteau, un des plus vieux objets créés par l’Homme. À la préhistoire, Néandertal conçoit des outils coupants. L’homo sapiens crée les premiers couteaux en os ou obsidienne, monofaces puis bifaces. Instrument de coupe, arme de défense et de chasse, le couteau s’avère essentiel à la survie de l’espèce humaine. Âge de pierre, Âge des métaux, Antiquité et Moyen Âge ne cessent de faire évoluer les techniques notamment avec l’art de la forge pour les lames. Les manches eux se parent au gré des modes et des richesses de leur propriétaire. C’est la révolution industrielle et l’arrivée de la machine-outil puis de l’électricité qui métamorphosent et mécanisent le monde de la coutellerie. Il faudra attendre le XXIe siècle pour que le consommateur cherche, dans le choix de son couteau, à retrouver les valeurs patrimoniales et le savoir-faire séculaire du coutelier. C’est un voyage dans le temps que nous vous proposons aujourd’hui, avec comme héros de l’histoire : le couteau.
L’âge de pierre : le couteau de l’homo habilis
Le paléolithique : les 4 besoins du couteau
📆 Paléolithique : – 2 millions d’années à – 10 000
Il y a de cela 300 000 ans, les préhominiens australopithèques utilisent les matières naturelles en l’état : branches, cailloux, galets, silex, os, obsidienne (roche volcanique), etc. L’homo habilis commence à les adapter à la fonction recherchée. Ainsi, il crée des instruments pour quatre besoins fondamentaux :
- écraser ;
- racler ;
- percer ;
- et couper.
Rapidement, il diversifie les outils et accélère la fabrication des armes.
Au paléolithique moyen, l’homme de Néandertal laisse sa place à l’homo sapiens qui maîtrise le feu et améliore la fabrication des outils. Il produit les premiers couteaux d’abord monofaces puis bifaces à partir d’éclats d’os ou d’obsidienne.
L’histoire du couteau (tel que nous le connaissons aujourd’hui) débute au paléolithique supérieur ( – 35 000 à – 10 000). L’Homme perfectionne et diversifie sa fabrication de couteaux notamment comme arme. Il utilise ce que l’on peut assimiler à un couteau fixe pour la chasse des animaux et aussi pour les premières guerres de tribus.
L’homme de Cro-Magnon donne une dimension artistique aux lames. Un art, d’abord figuratif : on retrouve des dessins de couteaux sur les parois des grottes et sur les sépultures. Rapidement, il s’en sert de décoration vestimentaire. À cette époque, l’os et l’ivoire sont majoritaires.
Le mésolithique : le silex
📆 Mésolithique : de -10 000 à – 6 000
Au mésolithique, le réchauffement climatique incite à une vie semi-nomade. Arcs et flèches permettent la chasse. L’homme maîtrise désormais la technique des éclats, c’est l’époque de la pierre taillée. Grattoirs et lames sont maintenant affûtés, mais le silex reste plus efficace notamment pour les pointes de flèches (microlithes) redoutables contre le gibier : cerfs, sangliers et chevreuils.
La pierre polie, pour sa part, répond à deux demandes : esthétisme et efficacité.
Le néolithique : la pierre polie
📆 Néolithique : de – 6 000 à – 2 300
Cette période est charnière, car elle allie le règne de la pierre polie et les prémices de la métallurgie, apportée par l’Orient.
La diversification se poursuit. L’Homme se sédentarise, il chasse, domestique les animaux et remplace la cueillette par les cultures vivrières. Les bovidés fournissent les os qui supplantent le bois dans la fabrication coutelière.
😉 Le saviez-vous ?
🔪 Le premier site de travail du cuivre voit le jour en Turquie en – 7 000.
🔪 L’Iran procède aux premiers alliages en – 5 000.
🔪 Les Chaldéens (peuple nomade de l’actuel Iraq) inventent la trempe des métaux ferreux en – 3 000.
🔪 Les Égyptiens ajoutent un pédoncule pour faire office de manche et accrocher le couteau.
🔪 Le plus vieux couteau élaboré connu possède une lame de silex de 22.5 cm et un manche en ivoire d’hippopotame. Il fut découvert à Gebel El Arak en Égypte , il date de – 3 300.
L’âge des métaux : les couteaux protohistoriques
L’Europe et particulièrement le sud de la France (par ses bois et ses rivières) joue un rôle majeur dans cette époque de métallurgie et de forge. Les premiers échanges commerciaux apparaissent. Des expéditions maritimes armées ramènent l’étain et le zinc pour fabriquer les premiers bronzes.
L’âge de cuivre : l’arrivée des alliages
📆 Âge de cuivre : de – 2 500 à -2 000
L’usage de la pierre prédomine, mais commencent le travail des alliages, des martelages et les mises en forme de tôles. On recherche des métaux malléables pour fabriquer les couteaux. Bien que le cuivre serve plus pour des ustensiles de cuisine, on retrouve en Isère des poignards en cuivre de cette époque.
Les premières soies axiales apparaissent et favorisent l’utilisation du bois pour les manches collés par des tendons liquéfiés.
L’âge de bronze : des outils efficaces avant tout
📆 Âge de bronze : de – 2 300 à – 800
À l’âge de bronze, les outils sont conçus pour leur efficacité : durs et affutables. Le forgeage trouve un adversaire dans le moulage pour des formes et tailles plus diversifiées. Il reste néanmoins la première technique employée. Le métier de forgeron apparaît et répond à la demande d’armes générée par les guerres de territoire.
Les Romains fabriquent les premiers couteaux pliants à friction, outil multifonction. Plus tard, ils inventent la virole. Les Vikings utilisent le modèle à fermoir avec loquet.
L’âge de fer : la soudure
📆 Âge de fer : de – 800 à – 50
Cette ère doit son nom à l’invention du soudage à la forge suivi du revenu. Cette dernière méthode consiste à chauffer un métal déjà trempé à température moyenne pour le rendre plus souple.
🔪 23 couteaux trempés et revenus datant de – 1 050 furent découverts à Chypre.
🔪 Premier site de grande d’envergure du travail du fer à Hallstatt en Autriche (vers – 750).
L’Antiquité : l’art de la forge et les couteaux gallo-romains
📆 Antiquité : de – 50 à 500 de notre ère
Inspirés par Vulcain, le dieu du fer, les forgerons gallo-romains sont des experts respectés pour leur savoir-faire. La coutellerie est désormais une activité artisanale et marchande. Les troupes romaines envahissent la Gaule qui obéit aux lois de César. L’Antiquité est une période marquée par les conquêtes militaires et les batailles. Le couteau, le poignard, l’épée et la dague sont des armes primordiales.
Les couteliers de l’époque fabriquent donc les lames à usage militaire, mais aussi culturel. Les couteaux sont désormais protégés dans leur fourreau.
On trouve :
- des épées (la spatha) ;
- des couteaux de chasse (la machaera) ;
- des poignards (la semispatha) ;
- des scalaprum pour tailler les roseaux dédiés à l’écriture ;
- des sutorius (rasoirs) ;
- des sica pour les gladiateurs (lame courbe) ;
- des secespita pour égorger l’animal sacrifié, des excoriatus pour l’écorcher, des dunaculum pour l’éventrer, et des dolabra pour détacher les membres ;
- des couteaux de cuisine (culter coquinarius) ;
- des couteaux d’office (cultellus).
Le couteau romain sert à des usages quotidiens et pas seulement militaires.
Moyen Âge et renaissance : le forgeron devient coutelier
📆 Moyen Âge : de 500 à 1 500 de notre ère
📆 Renaissance : de 1 400 à 1 600 de notre ère
Le passage du Moyen Âge à la Renaissance se situe aux environs de la découverte de l’Amérique. La Renaissance assure la transition entre le Moyen Âge et l’époque moderne. On parle d’époque contemporaine à partir de la Révolution française.
Les conflits suscitent la fabrication d’armes
Les V et VI siècles sont le théâtre de nombreuses invasions des Francs, des Wisigoths, Lombards, Alamans, Burgondes. Ces guerriers s’équipent de lourdes épées proches du modèle romain. Ils utilisent également des couteaux larges et courts, comme le scramasaxe, pour plus de maniabilité et de résistance à la torsion.
🗡 Les Francs décorent leurs armes avec de l’émail cloisonné, comme en témoignent les couteaux retrouvés à Manneville ou à Neufchâtel.
🗡 Les Wisigoths créent une trousse de ceinture pour ranger deux couteaux auxquels ils ajoutent des ciseaux ou des peignes d’os.
🗡 Les Lombards portent une épée et un coutelas.
🗡 Les Burgondes élargissent l’usage de la trousse aux couteaux domestiques, les couteaux de cuisine par exemple. Ils inventent de longs couteaux à manche creux en douille carrée.
Au moyen-âge, les nombreux conflits impulsent un considérable essor à la forge en particulier pour la fabrication d’armes et d’outils. Le métier de forgeron confirme son savoir-faire reconnu.
Une première révolution industrielle a lieu avec l’arrivée des machines, notamment le martinet sur roues à aubes. Ce dernier déploie une batterie de deux à trois marteaux qui frappent sur des enclumes, portés par la force de l’eau. Il permet l’étirage de barres de métal, le platinage, le corroyage.
Crédit photo : Wikipedia
Les couteaux nés au Moyen Âge
Entre les années 500 et 1 500 de notre ère, les habitudes de vie donnent naissance à de nouvelles lames. L’enluminure et l’insertion de pierres précieuses répondent, quant à eux, à une volonté d’esthétisme qui connaîtra son apogée au XIVe siècle. La coutellerie de luxe ne sera reconnue qu’au XVIIIe siècle.
Le métier de coutelier s’organise en corporation.
C’est à cette période que sont créés :
- les gardes pour protéger les mains ;
- les crans et crochets latéraux ;
- les fusils d’affûtage.
Les forgerons deviennent de vrais spécialistes des métiers de bouche, ils fabriquent :
- les couteaux réservés à la table. À cette époque, ni fourchette ni assiette, la viande se sert sur une tranche de pain ;
- les couteaux à trancher (lame large) ;
- le parepain (pour découper la fameuse tranche assiette) ;
- le petit coustel (pour désosser, dénerver) ;
- le taille-bois (proche de la machette) ;
- le couteau à huîtres ;
- le couteau à hacher (lame incurvée) ;
- le hachoir à bascule (ou hachoir à deux mains) ;
- le canivet pour tailler les plumes d’oie dédiées à l’écriture.
Le christianisme aussi influence les modes coutelières, en témoignent :
- les couteaux de carême (manche d’ébène) ;
- les couteaux de Pâques (manche ivoire) ;
- les couteaux de Pentecôte (manche à damier).
À la fin du XVe siècle, le couteau fixe partage sa place avec le modèle pliant. L’arrivée des poches sur les vêtements participe à cette évolution.
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😉 Le saviez-vous ?
🔪 Les femmes (y compris les religieuses) portaient à la ceinture un petit couteau à lame fixe retenu par un cordon.
🔪En 1265, l’archevêque de Rouen interdit les couteaux sculptés aux nonnes de Montivilliers pour cause de péché de vanité.
🔪Philippe de Hardi en 1275 rend le poinçon obligatoire à tout couteau sur argent. Les villes disposant d’une communauté d’orfèvres créent leur propre poinçon de qualité.
🔪En 1260, Boileau, préfet de Paris, sépare la corporation en deux branches : les fèvres couteliers (fabrication de l’objet taillant) des couteliers faiseurs de manches.
Révolution industrielle : les machines-outils métamorphosent la coutellerie
Les nouveaux procédés d’usinage
L’Europe occidentale entre dans son ère proto-industrielle dès le XVIIe siècle. Mais ce sont les progrès scientifiques et techniques du XIXe qui lancent la période dite révolution industrielle. Les hauts fourneaux voient le jour en 1860. La fonte bon marché prolifère. Les traitements de surface (chromage, nickelage, galvanoplastie) protègent les aciers.
Parmi les avancées, on note la maîtrise de la force hydraulique qui équipe les couteliers de machines et accélère les productions grâce à des :
- « cages à chien » ou « roues à homme », mécanismes à entraînement mécanique ;
- marteaux-pilons à bras (pour le forgeage) ;
- marteaux-pilons pressés (pour l’estampage).
De nouveaux aciers sont créés :
- l’acier au carbone (obtenu par carburation ou par fusion), appelé acier de coutellerie ;
- les alliages : comme le tungstène pour la dureté ou l’argenton (cuivre et zinc) moins oxydable.
Tous ces nouveaux procédés diminuent les coûts et les temps de production. L’artisanat s’industrialise. Cherchez l’erreur 😉.
Les innovations coutelières
Les couteaux continuent de répondre à des besoins de plus en plus spécifiques (couteau à viande, à poisson, à fromage, à dessert).
Les manches évoluent également. La corne de bovins remplace l’ivoire (désormais réservée aux couteaux de luxe). Des matières de synthèse (parkesine, celluloïd, galalithe, bakélite) permettent l’obtention de nouvelles teintes variées.
Le couteau fermant se démocratise. Utile et fonctionnel, il n’est plus un objet de luxe.
Le canivet se dote d’un appendice triangulaire pour gratter les fautes et recoucher le papier.
🔪 1820 : ajout du taille plume dans le canif à coulisse.
🔪 1827 : invention de la lame ronde à bascule. Le forgeage évasé du talon évite à la lame de toucher la nappe. Cette technique sera remplacée par la virole.
🔪 1830 : apparition des couteaux à mouche et à tenon, des couteaux catalans et du ressort brisé (aujourd’hui le ressort à pompe).
🔪 1872 : invention de la virole manchette.
De nouvelles gammes de couteaux
Chaque profession appelle une gamme de couteaux.
La médecine s’équipe de lancettes et de bistouris.
Le port du fusil autorisé entraîne la création de divers couteaux de chasse.
Le Charretier (couteau multifonction parfois à deux lames) satisfait les besoins polyvalents des paysans :
- emporte-pièce ;
- saignées (flamme vétérinaire) ;
- cure-pied pour les sabots des chevaux.
Les maraîchers utilisent des couteaux à tailler et à greffer les arbres, appelés « jardinières » s’ils contiennent plusieurs lames.
Les couteaux se répertorient désormais par région : Thiers, Normandie, Rouen, Nogent.
😉 Le saviez-vous ?
Des couteaux miniatures voient le jour. Les miniatures, comme le gigantisme en coutellerie, servaient souvent à démontrer le savoir faire des artisans. On pense à Nontron (logé dans une noix), aux breloques ou aux puces (réalisées dans une écaille de tortue).
La France exporte en Espagne, en Italie, en Amérique du Sud et en Afrique.
Sur le territoire national, la vente en diligence persiste, mais les magasins font leur apparition. Les « clincailleries » proposent des couteaux ordinaires et aussi de la coutellerie fine et de luxe.
Quelques chiffres finement ciselés
L’exposition universelle de 1855 recense :
- 1 000 maîtres et contremaîtres couteliers ;
- 3 000 forgerons ;
- 4 000 émouleurs et polisseurs ;
- 2 000 limeurs et trempeurs ;
- 100 mitreurs, affileurs et rosetreurs.
Histoire du couteau : Le XXIe siècle proclame le couteau un objet d’art
Le XXe siècle sonne l’arrivée de l’électricité. Mais la grande révolution coutelière post 1900 reste l’inox quand, en 1913, Harry Brearley ajoute 12% de chrome à l’acier. Après quelques essais, les aciers dits chirurgicaux (440C) demeurent les plus utilisés.
L’influence de la vie moderne sur l’utilisation des couteaux
L’urbanisation et les emplois industriels modifient les habitudes des Français. Le stylo bille, par exemple, signe la disparition du taille plume d’oie.
L’ouvrier a besoin d’un format de poche : ouvre-boîte ou canif. Il le veut léger d’où la récession des manches en bois et des modèles outils. Les congés payés suscitent des envies de camping, de loisirs en général qui engendrent la modernisation de systèmes existants : cran de sûreté ou linerlock. C’est l’essor du tool-knife, du couteau limonadier (décapsuleur) ou du couteau cutter.
En 1921, Karl Elsener crée sa marque de couteaux suisses : Victorinox.
Le XXe siècle, c’est aussi le siècle de deux guerres mondiales. Le secteur de l’armement commande des couteaux de soldat : poignard modèle 1916, dague, couteau squelette, baïonnette, sabres d’abattis, coupe-coupe, couteau de commando, etc.
Et pour les manches ?
La corne se raréfie avec l’abandon de la traction animale, et comme l’écaille ou l’ivoire, elle laisse sa place aux matières de synthèse moins chères et non fossiles. Les années 60 amènent la résine, les années 70 la céramique. L’arrivée du lave-vaisselle renforce l’attrait des manches en matières synthétiques.
Le couteau marqueur identitaire
Désormais, le couteau prend une dimension symbolique et porte un message.
🔪 Couteaux commémoratifs : guerre, exposition, personnage, etc.
🔪 Couteaux métier : EDF et SNCF font même sigler les leurs.
🔪 Couteaux identitaires : parti politique, Francs-maçons, associations, etc.
🔪 Couteaux de réclame (objet publicitaire).
🔪 Couteaux design (le Nontron).
La coutellerie française contemporaine
Il faut attendre la deuxième partie du XXe siècle pour que les Français repartent en quête de leurs racines et des traditions régionales rurales. Aujourd’hui, un couteau n’est plus un simple instrument, il reflète un patrimoine, se transmet de génération en génération. On l’aime avec des matières nobles et la qualité du savoir-faire tricolore.
De nos jours, le couteau français, c’est 624 fabricants, dont 130 significatifs. L’observatoire de la métallurgie (en partenariat avec la Fédération Française de Coutellerie) note l’attachement des Français au couteau de poche vu comme :
🔪 un « objet d’art » vintage, du terroir
qui peut représenter un bel objet en tant que cadeau.
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Le marché du couteau en France toujours selon ce même observatoire représente :
🔪 une offre de personnalisation qui plaît au consommateur, car unique et proche de ses goûts.
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🔪 un positionnement moyen et haut de gamme.
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Au fil des siècles, le couteau a toujours suivi l’évolution des besoins des hommes. Instrument du quotidien, outil de travail, arme de défense ou de chasse, il revêt autant de visages que de fonctions : couteau fixe, couteau de cuisine, couteau pliant, à chaque personne son couteau. Après moult modernisations, le couteau d’aujourd’hui se veut le reflet d’un héritage culturel et historique. Cela tombe bien, nous ne fabriquons que des modèles qui ont du sens. Le manche en Morta rappelle nos origines, la qualité de nos couteaux, le savoir-faire français. What else ? La beauté ? C’est par ici les amis.